Il peut arriver, dans la vie d’une marque, qu’elle soit contrainte de changer de nom.
Peu importe les raisons, c’est ce qui s’est produit dans le cas de « Gentlemen’s Factory », désormais baptisée « Garage Français » .
Cette mutation impliquait notamment le paramétrage d’un nouveau nom de domaine, bien sûr.
Mais c’était également l’occase d’offrir un coup de jeune à l’interface du site internet associé.
Registraire d’un côté, hébergeur de l’autre, le blog chez un troisième prestataire…
Il fallut partir à la pêche aux infos pour pouvoir gérer la première de ces tâches.
Cependant ce ne fut rien comparée à la seconde, qui comportait elle aussi des surprises.
En l’occurrence, le template sélectionné par mes camarades, s’il offre une infinité d’options de personnalisation, s’avère du coup être une usine à gaz à administrer.
Et jongler avec une multitude d’écrans de configuration, à la traduction douteuse et à l’ergonomie ésotérique, est un régal, croyez-moi.
Pire, ce fameux template était à la base incompatible avec le Prestashop exploité par l’entreprise, cette dernière ne l’ayant jamais fait mettre à jour depuis sa création.
J’aimerais vous dire que monter de deux versions majeures se fait simplement en cliquant sur un bouton… Mais non !
Les spécialistes savent ce que cela implique, l’ampleur de la besogne ; je sens leur compassion d’ici.
Conséquence : cette mission, simple en théorie, à laquelle j’avais prévu de sacrifier quelques jours de congés, s’est finalement étalée sur plusieurs mois !
Une galère ? Les aléas d’une vie de web monkey…
Ne soyez toutefois pas surpris si parfois les chiffrages sont compliqués à établir, surtout quand il s’agit de reprendre un projet existant, avec son lot de subtilités inconnues, voire de vices cachés.
Enfin, à l’arrivée, le résultat méritait bien ces efforts.
L’esprit de la marque, inchangé, transpire à travers cette nouvelle vitrine, plutôt cool à mon avis.
Qu’en dîtes-vous ?
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