Susokary

Jérôme est mon prénom, et Pierre mon nom de famille ; ce n’est pas un secret. Mais en ligne, je suis sans doute plus connu sous mon pseudo : Susokary.

Je mentionne là une notoriété toute relative, bien sûr, mais qui me vaut quand même des sollicitations épisodiques, et m’offre alors des tâches diverses et variées à accomplir :

• Paramétrer un nom de domaine ;
• Créer la boite mail professionnelle qui ira avec ;
• Réaliser le site internet associé à cette adresse ;
• Dessiner le logo en constituant l’image de marque…

J’en passe.

Touche-à-tout autodidacte, « web monkey » comme j’aime à dire, je compte parmi mes réalisations cette vitrine qu’actuellement vous visitez. D’autres exemples de mon savoir-faire sont à découvrir ici ; peut-être aurez-vous la curiosité d’y jeter un œil :

Bénédicte Waryn, la meilleure illustratrice des environs de la Porte d’Arras ? C’est ce qu’on dit parfois entre nous, pour rire, depuis que je la fréquente assidûment.

Passée par Saint-Luc, à Tournai, Béné a poursuivi sa formation sur le tas, et compte encore l’enrichir jusque sur le tard.

Rousse depuis toujours, artiste depuis un moment, motarde depuis quelques temps… Le jour elle enseigne le dessin à des étudiants, la nuit elle met à profit son imagination, laquelle était dernièrement inspirée par la passion pour les machines à deux roues, et l’univers de celles et ceux qui les domptent.

Ceci m’avait offert l’occase de lui consacrer un article, que je vous invite à découvrir si ce n’est pas déjà fait :

Louise & Joachim… Que ferais-je sans eux ? Assurément des tas de trucs ! Ce ne sont pas les idées qui manquent. En revanche lorsqu’ils ne sont pas là, eux peuvent me manquer. Eux et leurs réflexions d’enfants, pas toujours si innocentes que ça.

Les élever, au sens propre du terme, soit tenter chaque jour de les hisser à un niveau supérieur dans des domaines variés, n’est pas de tout repos ! Cependant une semaine sur deux je les confie à leur mère. Ce qui me permet de récupérer, en attendant que mon tour se représente ; et surtout m’autorise le dévouement à d’autres sujets.

En consignant ici leurs paroles les plus absurdes, les plus frappantes, ou les plus outrancières, je m’offre un bouclier derrière lequel je ne manquerai pas de me retrancher, hilare, le jour où ils viendront se plaindre à moi des propos de leurs propres rejetons.

« Un pneu dans la tombe », c’est d’une certaine façon mon troisième bébé… Même si d’un point de vue chronologique il est né peu de temps après ma fille aînée.

J’ai fondé ce blog début 2011, et l’ai d’emblée pensé comme une sorte de webzine dédié à « la bécane à l’ancienne, piégeuse, bruyante et caractérielle ». Une décennie plus tard il accueille entre dix et quinze mille visiteurs uniques chaque mois, passionnés pour la plupart par cet univers particulier. Peut-être êtes-vous de ceux-là ?

Quand j’ai commencé la moto dans le panier de mes vieux, à la fin des années 70, je n’imaginais évidemment pas un jour mener ce projet-là, ni la communauté qui s’est formée dans son sillage.